Les médias jouent un rôle crucial dans le formatage « politiquement correct » des populations afin qu’elles acceptent volontairement leur propre dépossession au service du projet du Grand Remplacement.

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Les médias en général et la presse en particulier sont aux avant-postes de la pensée progressiste. Il est facile de s’en rendre compte en lisant les journaux ou en regardant les informations à la télévision ou encore en écoutant la radio, France Inter était sans doute un exemple chimiquement pur de radio au service d’une idéologie perverse.

En revanche, il est difficile de mesurer objectivement le rôle des médias dans cette entreprise de bourrage de crâne des populations.

Toutefois, l’usage de trois mots clef du vocabulaire de la gauche qui veut notre destruction permet de s’en rendre compte facilement : diversité, privilège et racisme.

En voici la démonstration avec le vaisseau amiral du progressisme mondial celui qui indique la direction à prendre aux autres : le New York Times.

Diversité est le mot clef qui sert d’ouvre-boîte aux idéologues de gauche pour imposer l’idée qu’une société se doit d’être multiraciale.

Privilège est le mot clef qui permet à la haine de soi des journalistes blancs de se donner libre cours.

Racisme est le mot clef qui permet de stigmatiser tous ceux qui ne pensent pas comme la gauche veut qu’ils pensent.

L’augmentation brutale de l’usage de ces mots à partir de l’élection du président Trump montre bien la mobilisation des médias contre le président et ses politiques.

L’ennui est que cette impulsion de la gauche américaine a des fortes répercussions en Europe. Raison de plus pour être attentifs et de soutenir des organismes comme l‘Ojim qui font un bon travail pour en limiter les abus.


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