Dans la vulgate progresiste, toujours prête à ceder devant l’islamisation des esprits, la présence musulmane en Espagne fut un âge d’or où cohabitaient les cultures chrétienne, juive et islamique dans la plus parfaite béatitude. La réalité historique fut très différente et les historiens rectifient les mensonges de la gauche. Une nouvelle étude apporte des révélations sur l’empreinte génétique que les Arabes ont laissée sur les populations locales.

Les Andalous ne conservent aucune trace génétique du passage des envahisseurs arabes.
Les Andalous sont aussi africains que les Galiciens ou les Castillans. A la stupéfaction des spécialistes, une récente étude génétique des populations su sud de l’Espagne révèle qu’ils ne conservent aucune trace du passage des envahisseurs arabes qui ont fait régner la terreur durant presque huit siècles dans cette partie de l’Europe.

La cathédrale de Cordoue fut construite en récupérant la grande mosquée de la ville laquelle avait été bâtie sur les ruines d’une cathédrale.
Les Andalous ne diffèrent pratiquement pas des autres populations européennes comme le dévoile une étude réalisée par les chercheurs de l’université de Grenade qui ont analysé l’ADN du chromosome Y (qui est hérité par le côté masculin) et que l’on ne trouve que chez les hommes, de cent cinquante Andalous des provinces d’Almeria, Grenade et Malaga.

Les Andalous ne diffèrent pratiquement pas des autres populations européenne.
Avec quelques territoires annexes, ces trois provinces ont constitué le dernier royaume musulman en Espagne qui prit fin en 1492 quand la capitale Grenade fut prise par les rois catholiques. Les chercheurs ont pensé que l’on retrouverait dans ces régions les plus importantes traces génétiques de la présence des envahisseurs arabes.

La présence musulmane prend officiellement en 1492 quand les rois catholiques libèrent la ville de Grenade.
Les résultats sont déconcertants. La présence de gènes associés avec des populations nord-africaines est même inférieur dans ces provinces à celle que l’on trouve dans des régions plus au nord de la péninsule.

Il est probable que les populations ibériques ont adopté des modèles culturels musulmans durant l’occupation islamique.
L’haplogroupe le plus important dans l’échantillon se retrouve également dans 70% des populations européennes, notamment dans le sud et l’est de l’Europe. Par exemple, la distance génétique entre ces Andalous, les Italiens, les Croates, ou les Serbes est minime.
On n’identifie que dans 0,55 % de l’échantillon la présence d’un haplogroupe fréquent au Maroc chez les Berbères mais qui est également retrouvé dans d’autres populations d’Espagne.
Donc, la question reste posée : où sont donc passés les Arabes qui ont envahi l’Espagne ?
