Comme le dénonce régulièrement Gilles-William Goldnadel, Radio France qui devrait être la voix de tous les Français, n’est en fait que la porte-parole de la gauche morale qui domine dans l’ensemble des médias, publics comme privés. Or, non seulement ils condamnent au silence toute la France qui ne pense pas comme eux, mais en plus ils se gobergent à vos dépens.

Face à la langue de bois insupportable de Radio France et à son bourrage de crâne permanent, les médias alternatifs comme TV Libertés et radio Libertés sont un espace de liberté qui attire de plus en plus les Français.

C’est l’absence de liberté d’expression dans les médias publics qui a conduit à l’apparition des radios libres. Ici Olivier Pichon au micro de Radio Courtoisie en janvier 2006. Aujourd’hui il anime une émission sur TV Libertés.
Les vrais patrons de la la radio sont les syndicats qui ont mis l’organisme public en coupe réglée.
Une composante essentielle du fonctionnement de Radio France est l’intensité du dialogue social, qui occupe un temps d’activité significatif. 388 personnes, soit environ 8 % des effectifs, bénéficient du régime des salariés protégés. Leurs crédits d’heure représentent l’équivalent annuel de 134 ETP. En 2013, 622 réunions ont été consacrées au dialogue social.
Le montant de la masse salariale alloué aux comités d’entreprise de Radio France est significatif : 3,2 % y compris le restaurant d’entreprise. Sur la base des travaux de la Cour, ce chiffre est comparable à celui observé à la RATP (3,11 %).
Gilles-William Goldnadel a fondé et préside Avocats sans frontières. Ancien secrétaire national de l’UMP chargé des médias, il décrypte régulièrement les errements et les partis pris du service public en particulier de France Inter. Invité régulier du Figarovox et du site néo-conservateur Atlantico, il intervient fréquemment dans l’émission de radio Les Grandes Gueules sur RMC et rédige un billet hebdomadaire pour Valeurs actuelles. Il s’est livré au jeu des questions réponses avec l’Ojim. Sans langue de bois.
La gabegie financière que dénonce la Cour des comptes ne s’arrête pas aux salaires. Les magistrats pointent du doigt également les frais somptuaires des dirigeants et des travaux de rénovation mal engagés et très onéreux.
Le vrai scandale c’est la censure des opinions de la moitié des Français et la volonté d’imposer le politiquement correct à tout prix, notamment en plaidant sans cesse pour l’arrivée massive de pseudo-réfugiés et on luttant pied à pied contre toute idée identitaire.
Longtemps figure emblématique de France Inter, le journaliste Patrick Cohen est un bel exemple de censeur :
« Il y a suffisamment d’intellectuels dans le paysage pour ne pas aller chercher quelqu’un qui a été journaliste mais qui est devenu un acteur politique sans en avoir la légitimité électorale », Patrick Cohen au sujet d’Éric Zemmour, Libération, 21/09/2016 pour expliquer qu’il est possible de ne plus inviter Zemmour dans son émission. Il botte en touche cependant quand Libé lui demande s’il arrêtera de l’inviter « Cette question me gêne car elle présuppose que les téléspectateurs sont des imbéciles, qu’ils sont incapables de faire la part des choses et que diffuser des propos inacceptables revient à les faire rentrer dans la tête des gens ».
