Le féminisme toxique empoisonne les relations sociales dans les pays anglophones. Mais la récente mésaventure du Handsome Her, un café lesbien australien rappelle la loi d’airain du commerce : discriminer la moitié de l’humanité conduit à la faillite.

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Dans quatre jours, le 28 avril, le café végétarien, lesbien et bobo sous toutes ses coutures, Handsome Her va fermer ses portes. À aucun moment les deux propriétaires ne signalent que cette mise de clef sous la porte est le résultat de facturer les hommes plus que les femmes, un principe qui a été mis en place dès l’ouverture du café voici deux ans.

Au premier jour de l’ouverture, les féministes qui lançaient ce café avaient annoncé la couleur sur une ardoise où étaient inscrites les règles de la maison.

Première règle de la maison : les femmes sont prioritaires pour les places assises.
Règle numéro deux : les femmes vont payer 18% de plus afin de compenser la différence de salaire entre hommes et femmes. Cette somme sera versée à des causes féministes.
Troisième règle : tout le monde se respecte.

Pour ces deux toquées du féminisme radical, discriminer les hommes de manière ouverte ne contrevient pas au respect que les sexes se doivent l’un l’autre.

Il va sans dire que cette différence entre les salaires des hommes et des femmes est une  grosse fumisterie féministe que les médias avalent sans sourciller.

 

https://youtu.be/k7C7d0e_HJo

Il est vrai que la comparaison entre les revenus salariaux de la moyenne des hommes et ceux de la moyenne des femmes révèle une différence, mais celle-ci n’est pas le résultat d’une discrimination, mais de choix de vie. Les femmes, en règle générale travaillent moins d’heures et choisissent des métiers moins absorbants car elles souhaitent conserver plus de temps pour elles.

En revanche, quand on compare les hommes et les femmes dans des conditions de travail similaires, non seulement la discrimination disparaît mais dans quelques cas les femmes sont plus avantagées.

Enfin, si la discrimination ouverte contre les hommes a contribué à lancer le café dans les médias, toujours à l’affût des initiatives féministes les plus décervelées, elle a aussi privé le café d’une clientèle d’hommes qui ne ressentaient pas le besoin de payer une dîme de 18% pour financer des causes lesbiennes.