La violence gratuite est un fléau qui s’est abattu sur la France ces dernières années. Mais il est une vérité que les médias ne veulent pas vous dire à son sujet. Le Dr Maurice Berger rompt le tabou et ose dire ce que les politiques et les journalistes ne veulent pas que vous sachiez.

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Dans les colonnes de nos amis de Riposte laique, Marcus Graven a publié une analyse du livre du Dr Maurice Berger sur le phénomène de la violence gratuite en France. Retrouvez-la en entier sur le site de Riposte laïque.

Le 29 décembre vers 6 heures du matin, deux jeunes hommes ont été roués de coups à Poitiers, victimes du « péage à coups », ce droit de tabassage que s’octroient les bandes qui ensauvagent nos rues. Le principe est simple : « Si vous voulez passez, il va falloir prendre des coups ». Les deux victimes ne connaissaient pas le groupe qui les a interpellées. Et ce fut le massacre. Pas de vol, pas de menaces, seulement des coups.

C’est le principe de la violence gratuite que pratiquent toutes les 44 secondes, dans nos villes et nos campagnes, des bandes essentiellement maghrébines et subsahariennes.

https://youtu.be/vb7eeaurSAI

Interrogé sur les ondes de Sud Radio par Valérie Anglade-Expert, le professeur Berger côtoie ces acteurs de la violence gratuite dans les CER (Centre éducatif renforcé). Il décrit une faune où les Français de souche ne sont que 8 %.

Ce n’est pas moi qui le dis, mais le professeur Maurice Berger, pédopsychiatre et psychanalyse renommé, auteur de Sur la violence gratuite en France (Éditions de L’Artilleur).

Interrogé sur les ondes de Sud Radio par Valérie Anglade-Expert, le professeur Berger côtoie ces acteurs de la violence gratuite dans les CER (Centre éducatif renforcé). Il décrit une faune où les Français de souche ne sont que 8 %.

À la journaliste, inquiète d’une telle précision – Horreur, Maurice Berger aurait-il fait des statistiques ethniques ? – il lui rétorque que médecin, il fait de l’épidémiologie.

Comment analyser l’attitude de ces fauves humains ?

Rien à voir avec les explications habituelles des politicards, précise le professeur. Il ne faut pas chercher d’excuses dans la ghettoïsation, la précarité, le chômage pour expliquer les coups de plus en plus forts assénés par ces adolescents qui n’en sont pas vraiment.

Même si le professeur ne peut s’empêcher de découvrir des causes sociétales aux prédateurs (spectateurs de violences conjugales dès leurs premières années, manque d’empathie parce victimes de violence sournoise – manque d’amour parental), de minimiser leur nombre (« Ce n’est qu’une minorité »), il tisse clairement le lien entre migration et violence gratuite. Le tabassage sans raison provient d’enfants issus de la culture arabo-musulmane du continent sauvage.

L’immigration de populations arabo-musulmanes et africaines a importé d’autres valeurs collectives en France.

Manque total d’empathie, sans pensée personnelle – ils n’ont que celle de la meute (si on peut nommer cela une pensée), peu ou pas sanctionnés par la justice (surtout pas de peine de prison alors que pour le professeur Berger, elle permettrait de changer la donne, de les faire réfléchir un peu au-delà de leur unique neurone), ces purs produits de l’immigration sont difficiles, voire impossibles à gérer.

Pour eux, la réalité est un jeu où règne la loi du plus fort. Tendre une embuscade aux forces de l’ordre, caillasser les pompiers, brûler des voitures, pour le pédopsychiatre, ce n’est pas une révolte contre l’uniforme ou la société de consommation, mais des jeux de fous dangereux.

Détruire. C’est leur plaisir. Leur grand, leur immense plaisir.

Maurice Berger ne fait pas des statistiques ethniques, il fait de l’épidémiologie.

Dans cette destruction, il y a celle des victimes dont personne ne veut entendre parler. Certaines ont des séquelles pour le reste de leurs jours. Un restant de vie démonétisée par les agresseurs, les politicards, les médias, les juges. « On a six mois avec sursis pour avoir frappé quelqu’un qui ne pourra plus jamais exercer son métier ou plus jamais marcher », jette Maurice Berger.
Les décérébrés de la violence gratuite disent n’en avoir rien à foutre.
« Pourquoi tu ne l’as pas tué ?  » a demandé Maurice Berger à un de ces monstres qui avait plongé dans le coma le passager d’un bus.
« Parce que mon copain m’a tiré en arrière par la capuche de mon sweat. »
Le médecin ne précise pas si la racaille en voulait à son copain de l’avoir privé de la fin de son jeu.

Aujourd’hui, il n’est plus nécessaire aux anthropologues de se rendre dans les forêts profondes pour rencontrer des tribus comme les Iks décrit par Colin Turnbull, une des peuplades les plus cruelles d’Afrique, elles sont au cœur de nos centres-villes.
Merci qui ?

Maurice Berger: «Non, la violence gratuite n’est pas due à la ghettoïsation»

Les violences gratuites sont en augmentation constante en France. Pour le pédopsychiatre Maurice Berger, auteur d’un livre sur son expérience auprès des adolescents hyperviolents, elles sont le fruit de facteurs psychologiques et culturels.

Retrouvez le grand entretien qu’il accordé au Figaro en cliquant ici.

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Photos DR pour les copies d’écran et CC via Flickr de Filip Deblaere, SA, Alainalele.