La gauche n’aime les méchants que lorsqu’ils hommes et blancs. Quand des « racisés » commettent des crimes c’est la course des médias à l’occultation des faits pour ne pas « stigmatiser » et avouer que la société française devient invivable.

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Le 31 mars dernier, une jeune femme sort du métro place de la République et tombe en plein dans une manifestation d’Algériens en faveur d’un changement politique dans leur pays.  Voici comment Libération décrit la scène :

On y voit une jeune femme blonde sortir de la station qui mène à la place où se déroule une manifestation contre le maintien au pouvoir du président algérien Abdelaziz Bouteflika. Tandis qu’elle monte les marches sous les regards plus qu’insistants, première agression : un homme lui ébouriffe les cheveux. Une jeune femme drapée dans le drapeau algérien tente de la protéger, de la ramener vers le métro. Elle, persiste, fend la foule et là, recroise «l’ébouriffeur» qui se met à la frapper violemment. Des agents de sécurité RATP interviennent alors et la mettent à l’abri.

C’est le seul endroit où le long dossier du quotidien officiel des bobos où l’on suggère de manière allusive  l’identité des agresseurs. A aucun autre moment n’intervient dans l’analyse les motivations des agresseurs, ni les propos qu’ils ont tenu. Rien de rien.

La seule raison d’être de l’article de Libération est de mettre les hommes en accusation. Au lieu de s’interroger sur les motivations religieuses et culturelles des jeunes Algériens présents dans cette sortie de métro, les journalistes de Libération cherchent à mettre en accusation la société française dans son ensemble et sa culture « patriarcale » comme si les Français étaient responsables des enseignements du Coran.

Plus fort encore, Libération n’a pas un mot pour stigmatiser les agresseurs « racisés » de la personne trans, mais trouve un coupable tout désigné de la violence contre les personnes trans : l’Etat !

La victime de l’agression participe à l’occultation des faits. La gauche a réussi à imposer la censure de tout ce qui peut conduire à critiquer l’immigration massive de populations de culture musulmane dont les valeurs ne respectent pas notre vision des droits de l’homme.

Voici comment la victime décrit son agression dans les colonnes du très progressiste Huffington Post :

Je n’avais rien demandé. Je voulais prendre le métro. Là, trois hommes m’ont bloqué le passage et l’un d’eux m’a dit: ‘Hé, mais t’es un homme toi!‘. Je n’ai pas voulu répondre et j’ai tenté de les éviter, mais ils m’ont retenu en disant que je devais répondre à leur question. L’un d’eux m’a alors touché la poitrine en s’étonnant que j’ai effectivement des seins”, raconte Julia.

“J’ai dégagé sa main en lui disant de ne pas me toucher. Il a alors sorti son sexe et m’a demandé de ‘lui faire du bien’. J’ai voulu partir et remonter les escaliers. D’autres hommes m’ont jeté de la bière du haut des marches, m’ont insultée. Un homme m’a giflée. Ensuite c’est là que la vidéo commence”.

[…]
Une fois l’avoir mise à l’abri, les agents de la RATP auraient été extrêmement maladroits envers la victime et auraient même tenu des propos sexistes. “Même avec eux j’ai été humiliée. Ils m’ont appelée ‘Monsieur’, puis m’ont demandé pourquoi j’étais sur la place de la République pendant cette manifestation, vu les dangers que cela pouvait comporter pour moi”, assure Julia.

“Ils m’ont ensuite dit ‘il ne faut pas s’habiller comme ça, Monsieur’[…]

Les journalistes de gauche et ceux de Libération en particulier refusent de voir la réalité en face de leurs yeux. Ce ne sont pas des catholiques à la sortie de la messe qui ont agressé une personne trans.  C’est ça qui les gêne ?

Sur la plateau de BFMTV, la personne trans en rajoute :

« Il faut arrêter les amalgames »

La jeune femme, qui a porté plainte mardi 2 avril, explique sur BFMTV que « c’est une grande chance que cela ait été filmé parce que des agressions comme la mienne, il en arrive tous les jours envers la communauté LGBT ». Un des agresseurs a été interpellé et placé en garde à vue. Il a depuis été relâché. L’enquête a été confiée à la police du 3e arrondissement de Paris.

Sur le plateau de BFM, Julia appelle à la tolérance. La jeune femme a reçu des milliers de messages de soutien sur les réseaux sociaux « associant [s]on agression et l’Algérie ». « J’ai vu des messages de haine, de racisme. Il faut arrêter les amalgames. Ces personnes qui m’ont agressée sont ignorantes, cela n’a rien à voir avec leurs croyances et le fait qu’ils soient algériens. Il faut arrêter de stigmatiser ».


L’aveuglement de la gauche a des conséquences monstrueuses. Le refus de s’attaquer aux racines de cette violence de la part des médias comme des organisations LGBT ne fait qu’encourager des positions qui ont une conclusion logique : l’application de la loi islamique et la mort pour les personnes homosexuelles.

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