Les homosexuels organisés et militants sont en quasi totalité animés par une vision du monde de gauche ou d’extrême-gauche et se servent de leur sexualité pour faire avancer leurs objectifs politiques plus généraux.
La destruction de notre modèle social, l’abaissement de nos valeurs, de nos traditions et de notre héritage spirituel figurent au premier rang de leurs préoccupations.
L’homophobie est conçue comme une arme par l’extrême-gauche tout comme l’islamophobie l’est par des militants musulmans radicaux.
Ces homosexuels militants sont des acteurs décisif du combat culturel contre la famille et les valeurs traditionnelles alors que la grande majorité des homosexuels s’y sentent confortables.
La lutte contre l’« homophobie » et les violences contre les personnes homosexuelles rentre entièrement dans ce combat culturel contre les valeurs de notre société.
Les militants homosexuelles les plus radicales ne cachent pas leur refus de l’ordre naturel et de la maternité.
Ces motivations politiques des lobbies gays expliquent leur malaise à reconnaître le rôle croissant de l’islam dans la montée du refus de l’homosexualité en France et plus généralement en Europe.
Récemment, des familles musulmanes ont réussi à imposer dans des écoles publiques britanniques que leurs enfants ne soient pas confrontés à une éducation sur l’homosexualité qui entre en contradiction totale avec leur morale collective.
La réalité de l’homophobie est occultée par le lobby gay.
L’enquête de l’Ifop pour la fondation Jasmin Roy-Sophie Desmarais est exemplaire dans ce refus du réel.
Après avoir constaté une hausse inquiétante des actes de violence commis contre des homosexuels en France, voici comment Libération décrit les agresseurs :
Autre enseignement : les agresseurs semblent majoritairement être des hommes (dans près de huit cas sur dix) de moins de 30 ans (dans 75 % des cas) et agissant en présence d’un groupe (dans 61 % des cas), même si cela ne veut pas forcément dire que tous les membres de ce groupe contribuent à l’agression ; certains peuvent rester passifs.
«Critique»
Dans 7 % des cas, les agresseurs sont décrits comme ayant une apparence «vulgaire, agressive». Ces résultats, dévoilés à quatre jours de la journée mondiale de lutte contre l’homophobie et la transphobie vendredi, seront présentés ce mardi à Marlène Schiappa, secrétaire d’Etat en charge de l’Egalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations.
Les seuls « homophobes » dénoncés publiquement par le lobby gay sont ceux issus de la communauté chrétienne.
Le quotidien le Monde tente pourtant d’aborder le sujet :
Des hommes agissant en groupe
D’après le portrait-robot que les victimes dressent à grands traits, les agresseurs sont majoritairement des hommes, de 18 à 30 ans, et agissant en groupe. Dans 61 % des cas, l’agressé se retrouve en effet confronté à une bande, dont un ou plusieurs éléments passe à l’acte. Dans ce contexte, souvent (40 %), une seule personne porte les coups. « L’effet d’entraînement du groupe est manifeste. Une dynamique est ainsi créée, qui donne un sentiment de légitimité aux agresseurs », observe Flora Bolter, codirectrice de l’Observatoire LGBT+ de la Fondation Jean-Jaurès.
Invités à décrire librement les caractéristiques de l’auteur des violences, les victimes mentionnent en premier lieu son sexe (masculin à 78 %), son comportement (vulgaire, agressif, voyou…), puis certaines caractéristiques physiques, comme sa taille et sa corpulence. La couleur de peau et la description de l’origine ethnique supposée n’arrivent spontanément qu’en sixième et septième positions : 2 % évoquent alors une personne de couleur noire, 4 % de couleur blanche, 6 % une personne arabe ou maghrébine.
« Ces descriptions vont à rebours d’un discours complètement délirant, qui a cours aujourd’hui, tendant à faire croire que les agressions seraient le fait de groupes ethniques spécifiques », constate Flora Bolter. « Les chiffres nécessiteraient d’être approfondis mais ils démontrent un degré d’ethnicisation des LGBTphobies assez faible », confirme François Kraus, de l’IFOP.
Les motivations religieuses du musulman radicalisé coupable de la tuerie d’Orlando sont passées sous silence par le lobby gay.
Heureusement, le quotidien Présent rectifie le tir :
[…] Témoin, cette étude publiée lundi par l’Ifop et la Fondation Jasmin Roy-Sophie Desmarais, qui réussit le tour de force de dresser un « portrait-robot » très détaillé des auteurs d’actes « homophobes », en excluant ces deux facteurs pourtant capitaux que sont leur origine et leur religion.
Réalisé bien sûr en partenariat avec la Fondation (socialiste) Jean-Jaurès et la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT, ce sondage, effectué auprès de 1 229 personnes homosexuelles, bisexuelles et « transgenres » disant avoir été victimes d’actes « homophobes », nous apprend ainsi que les agresseurs sont dans la plupart des cas des hommes jeunes (78 %), âgés de moins de 30 ans (75 %), « à la force physique développée », « au comportement agressif » et agissant au sein d’un groupe (61 %) « dont un ou plusieurs éléments passent à l’acte »(21 % ont été « roués de coups par plusieurs personnes en même temps »). Tiens, tiens ! Ceux qui, comme nous, ont pris l’habitude de lire entre les lignes, et épluchent régulièrement la rubrique des faits divers, se seront sûrement déjà fait une petite idée des personnes concernées…
Il est plus simple d’accuser l’Occident et ses valeurs de promouvoir l’homophobie que de dénoncer les musulmans radicalisés qui tuent des homosexuels ou les pays musulmans comme l’Iran qui les condamnent à mort.
Pour affiner ce portrait-robot, déjà très « parlant » mais incomplet, on aurait apprécié que les auteurs de ce sondage interrogent les victimes sur ces deux facteurs pourtant majeurs que sont la religion (supposée ou revendiquée) de leurs agresseurs et leur origine ethnique. Mais, cette idée étant bien sûr politiquement incorrecte, et risquant surtout d’obtenir l’effet inverse de celui recherché, les sondeurs se sont bornés à inviter les victimes à répondre librement à une question ouverte sur les caractéristiques physiques de leur agresseur. Une question à laquelle, se félicitent-ils, « moins de 10 % des personnes interrogées ont mentionné la couleur de peau et les caractéristiques ethniques de leur assaillant ». Et Flora Bolter, codirectrice de l’Observatoire LGBT+ de la Fondation Jean-Jaurès, de s’emballer alors : « Ces descriptions vont à rebours d’un discours complètement délirant, qui a cours aujourd’hui, tendant à faire croire que les agressions seraient le fait de groupes ethniques spécifiques » !
A l’heure de dénoncer leurs agresseurs, les homosexuels ont curieusement « la mémoire qui flanche » : 41 % d’entre elles, atteintes d’un curieux trou de mémoire, déclarent « ne pas se souvenir des caractéristiques physiques de leur agresseur.
Pourtant, en y regardant de plus près, on s’aperçoit que si 4 % des victimes se souviennent d’une personne « blanche », 6 % d’une personne « maghrébine », et 2 % d’une personne « noire », 41 % d’entre elles, atteintes d’un curieux trou de mémoire, déclarent « ne pas se souvenir des caractéristiques physiques de leur agresseur ». Enfin, on notera quand même ce discret commentaire de l’Ifop indiquant que ces résultats « n’invalident pas les données de précédentes enquêtes qui avaient pu mettre en perspective la moindre acceptation de l’homosexualité chez les personnes de confession musulmane »…
L’homophobie est un prétexte pour dérouler la propagande LGBT dans tous les milieux.
Comme le remarque le blog Salon beige :
L’homophobie est un prétexte pour dérouler la propagande LGBT dans tous les milieux. L’Education nationale envisage le lancement d’une campagne contre l’homophobie et la transphobie vendredi, en direction des jeunes collégiens et lycéens, mettant en avant des témoignages via des vidéos de jeunes gay, bi trans, etc “influents” sur les réseaux sociaux. Le ministère sera particulièrement attentif aux réactions en ligne à cette campagne. Le totalitarisme LGBT avance.