Il n’y a rien de pire que les personnes qui croient que tout est permis au nom du « bien » et de la « morale ». Des féministes toxiques qui dénoncent des « machos » aux chasseurs de pédophiles prêts à enlever des enfants à la suite de dénonciations calomnieuses.

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L’Essor de la Gendarmerie a publié un intéressant article sur le cas d’un ex-gendarme qui vient d’être condamné pour avoir planifié l’enlèvement d’enfants sur la simple base d’une dénonciation calomnieuse. 

L’ex-gendarme Christian Maillaud vient d’écoper de quatre ans de prison la semaine dernière. Le tribunal correctionnel de Saintes (Charente-Maritime) poursuivait ce chantre du combat anti pédophile pour “participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un crime”.

Il était soupçonné d’avoir projeté l’enlèvement de trois enfants à Montendre (Charente-Maritime) en 2012. Sa peine est assortie d’une interdiction de séjour de cinq ans dans le département de Charente-Maritime, précise France 3. Celui que ses adeptes surnomment “le zorro blanc” reste en détention. Et il doit également verser au total 12.000 euros de dommages et intérêts au père et aux trois enfants.

Le féminisme radical alimente une contestation de la famille traditionnelle.

A l’extérieur du tribunal, une cinquantaine de partisans du prévenu ont affirmé après l’audience qu’ils poursuivraient son combat contre les pédophiles. Pour ces mêmes faits, il avait été condamné par défaut à 5 ans de prison le 30 août 2018.

Mais il était en fuite au Venezuela où la justice l’a rattrapé l’été 2019 en exécution d’un mandat d’arrêt d’Interpol. Son extradition a suivi. C’est à la demande de la mère des enfants qui accusait leur père de pédophilie, allégation sans fondement,  que Stan -un autre de ses surnoms- avait monté ce projet.

Le féminisme toxique dévalorise la place de l’homme et donc du père dans la société. 

L’ex-gendarme en récidive

Révoqué de la Gendarmerie pour troubles psychiatriques selon Le Parisiencelui qui se présente comme un ancien para des forces spéciales et le petit-fils du résistant Pierre Maillaud n’en pas à son coup d’essai. Son parcours dans la lutte anti pédophile débute à la Réunion en 2004.

A la tête d’une société de vigiles, OPS, il monte une expédition pour enlever deux fillettes à Madagascar. L’opération échoue et il est arrêté par les autorités malgaches. Parallèlement, le tribunal le condamne à dix mois de prison, dont deux ferme, pour “organisation d’un groupe de combat” pour sa société aux méthodes expéditives.

“Le zorro blanc” continue d’aider des mères dont les enfants seraient aux mains de “réseaux criminels pédophiles”.

Le climat anti paternité que le féminisme toxique répand dans la société est à l’origine de nombreuses dénonciations d’ex-épouses ou de femmes qui demandent le divorce, contre les pères de leurs enfants.

Porteur de faux papiers

En 2009, il écope d’un an de prison pour l’enlèvement du jeune Vincent près de Perpignan. Puis en 2012, un simple contrôle routier dans le Doubs met au jour un nouveau projet de rapt d’enfants. Maillaud,  porteur de faux papiers prend la fuite.  Dans le véhicule, les gendarmes mettent la main sur des  carnets détaillant les modalités d’une “action clandestine offensive”.

Pour monter l’opération d’enlèvement qui prévoit de prendre d’assaut une maison, Stan s’est adjoint les services de sa compagne allemande, et de nervis, membres de son organisation prétendument anti pédophile, le RRR (Ralliement des résistants pour la révolution).

L’ex-gendarme trouve alors refuge au Venezuela d’où il commente, en vidéo, son premier procès organisé à Saintes. “Ça me fait bien rigoler, ce verdict ne signifie rien!”,  lance t-il, sûr de lui. Dans le même message il justifie également son départ de la Gendarmerie.

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Photos CC via Flickr de Dimitri Djouce, Laura Forest, Peter.