Capturé en Bolivie après une cavale de 37 ans, le tueur communiste Cesare Battisti va enfin payer pour ses crimes.

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Le terroriste communiste Cesare Battisti a été arrêté par la police bolivienne après une cavale de 37 ans qui lui a permis de fuir la justice de son pays qui l’a condamné à la prison à vie pour le meurtre de quatre personnes durant les années de plomb en Italie.

La capture de Cesare Battisti va permettre à la société italienne de clore une des pages les plus tragiques de son histoire récente, la tentative par la gauche radicale de prendre le pouvoir par la terrorisme et les assassinats ciblés.

Chouchou de la gauche intellectuelle française, Cesare Battisti s’est évadé d’une prison italienne en 1981 alors qu’il allait passer en jugement pour le meurtre de quatre personnes commis sur ordre du groupuscule communiste auquel il appartenait.

Après un séjour en France où il a été protégé par toute la bien pensance de gauche, il a finalement pris la fuite pour le Brésil où il a été à son tour protégé par le pouvoir de gauche qui a refusé son extradition vers l’Italie.

L’arrivée au pouvoir de Jair Bolsonaro a changé la donne pour le terroriste car un de ses arguments de campagne était la fin de l’impunité pour le tueur communiste.

Pressentant la victoire du patriote Jair Bolsonaro, le terroriste impuni Cesare Battisti s’est enfui du Brésil pour éviter son extradition vers l’Italie.

Le dimanche 13 janvier, Cesare Battisti a été arrêté par la police bolivienne dans la ville de Santa Cruz. Quelques heures plus tard, le condamné en fuite a été remis aux autorités italiennes qui l’ont immédiatement embarqué dans un avion à destination de Rome.

La Bolivie peut se vanter d’avoir mis fin à la dérive meurtrière du Che Guevara, un génocidaire communiste à la solde du gouvernement castriste, et à la cavale d’un tueur communiste au petit pied dans la même région de Santa Cruz et à cinquante ans d’écart.

Cesare Battisti avait quitté le Brésil à la veille de la victoire de Jair Bolsonaro mais il était suivi à la trace par les services secrets italiens. Ils finissent par le repérer en Bolivie dans la ville de Santa Cruz, cette région au coeur du pays où l’armée bolivienne avait déjà mis hors d’état de nuire en 1967 au génocidaire communiste Che Guevara.

Cesare Battisti se croyait à l’abri en Bolivie, pays dirigé par un populiste indigéniste de gauche, mais les relations internationales ont leur importance. La Bolivie ne peut pas se permettre le luxe d’une brouille avec le Brésil et laisse entrer une équipe d’Interpol sur son territoire pour identifier, localiser et arrêter le terroriste en cavale.

Le gouvernement bolivien d’Evo Morales a pleinement collaboré avec Interpol pour permettre l’arrestation et le rapatriement de Cesare Battisti vers l’Italie.

L’arrestation de Cesare Battisti a été accueillie par une grande satisfaction en Italie où cette cavale était considérée comme un affront national.

Le bouillant ministre de l’Intérieur italien s’est réjoui avec humour de la fin de la cavale de Cesare Battisti.

Très vite, le ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini a voulu informer Alberto Torregiani, fils d’une victime de Cesare Battisti et que le tueur avait blessé par balle et laissé pour mort alors qu’il était enfant aux côtés de son père. Cette balle logée dans la colonne vertébrale l’a laissé paralysé à vie.


Les communistes et la gauche bien pensante ont manifesté leur colère à la nouvelle de l’arrestation de leur protégé.

La progression du vol retour de Cesare Battisti a été suivie en direct.

Le nouveau président brésilien se félicitait de l’issue heureuse de l’opération Battisti et proclamait publiquement que le Brésil ne serait plus jamais un refuge pour les marginaux ou les bandits travestis en réfugiés politiques.