A l’inverse de beaucoup d’autres, le gouvernement a décidé le retour des terroristes islamistes en France. Cette erreur aux conséquences gravissimes est dénoncée par un spécialiste du renseignement.

Le site de réinformation les Observateurs publie l’esssentiel d’un débat avec Laszlo Földi, spécialiste de sécurité et ancien agent secret, et Jozsef Horvath, également spécialiste de sécurité.

 

Au sujet du rapatriement de 130 djihadistes en France (voir ici, ici, ici, ici, ici), Földi qualifie cette décision de pire qu’une erreur politique : c’est une stupidité ingérable et très coûteuse, une solution qui aboutit à un cul-de-sac.
Les mettre en prison ? Ce lieu est pour eux l’équivalent d’un sanatorium et ils vont embrigader d’autres détenus.
Et une fois libérés, ils deviennent des grenades dégoupillées et les moyens qu’exige leur surveillance sont immenses, cela mobilise des forces qui devraient être mises ailleurs.

Jamais dans notre histoire une stupidité pareille n’a été commise : enfermer nos ennemis ensemble. Espions ou combattants, ils pourront s’organiser embrigader et comploter contre ceux qui les détiennent.
De plus, il sera très difficile de les juger : on ne saura jamais ce qu’ils ont fait exactement ni même quelles sont leurs missions à effectuer sur notre sol. Leurs déclarations de repentance n’ont aucune valeur.

Dans ce contexte, Földi évoque l’assassinat récent commis sur le quai d’une gare de Nuremberg par des adolescents musulmans contre leurs contemporains allemands de souche (nous en avons parlé ici). Deux sont morts et le troisième est dans un état très grave. Földi illustre par cet exemple leur manière de penser. Il y a deux camps, eux et nous, leurs ennemis. C’est avec cet état d’esprit que les djihadistes reviennent en Europe.

Résumé Cenator pour LesObservateurs.ch

Nuremberg : des migrants poussent trois jeunes Allemands sous un train – la plupart des médias camouflent le crime

 

Fin janvier, trois jeunes Allemands de 16 ans ont été poussés sur les rails à la station Frankenstadion du RER de Nuremberg. Deux d’entre eux ont été happés par le train et tués.

La plupart des médias allemands ont parlé de manière trompeuse d’« Allemands », en occultant l’origine migratoire des meurtriers. Ils ont parlé d’«accident », de « tragédie » et écrit que les trois adolescents étaient « tombés » sur les rails.

Les Nürnberger Nachrichten ont qualifié respectueusement de « jeune homme » le premier meurtrier arrêté.

La Süddeutsche Zeitung a parlé d’une bagarre entre jeunes ayant simplement connu une « issue tragique ». Trois jeunes de 16 ans sont « tombés » sur les voies et ont été « happés par le train et tués ».

Le Bayerischer Rundfunk estimait que les trois Allemands étaient « tombés » sur les rails :

« Vendredi soir, les deux jeunes se sont disputés avec deux autres jeunes de 17 ans à la station Frankenstadion du S-Bahn de Nuremberg. En tout, trois jeunes de 16 ans sont tombés sur les voies pendant la dispute. »

Le lendemain matin, BR Online dépeignait le double meurtre comme un « accident », lors duquel « trois hommes », après une bagarre, étaient « tombés sur la voie ferrée ».

La chaîne de télévision Franken Fernsehen a qualifié de même les événements meurtriers d’« accident du S-Bahn ». Après une rixe, les deux victimes « sont tombées sur les rails » et ont été « tuées par le train qui approchait ».

Ce n’est que le lundi matin que le BILD a révélé l’horrible vérité : les assassins qui ont poussé les trois jeunes Allemands sur les rails étaient un Turc et un Grec qui étaient simplement nés en Allemagne.

Les deux victimes, Luca et Frederic, venaient de Heroldsberg. Ce vendredi soir, ils s’étaient rendus au le club de danse « Nightlife » de Nuremberg et, vers minuit, ils s’apprêtaient à rentrer chez eux par le train.

A la gare, après avoir rencontré un troisième ami, ils se sont disputés avec les deux migrants. Selon la police, la bagarre a commencé pour une raison « totalement futile », qui a conduit à une réaction très agressive des deux délinquants.

Les images de surveillance prouvent que c’est de façon tout à fait intentionnelle que les deux migrants ont poussé les trois jeunes sur les rails, au moment où le train approchait déjà de la station à une vitesse d’environ 80 km/h.

Comme ce train ne s’arrête généralement pas à cette station, il a roulé sur Luca et Frederic à pleine vitesse. Les garçons n’avaient aucune chance et ils ont été tués sur le coup. Leur ami a pu s’en sortir de justesse.

Source : Voice of Europe

Sources en allemand :

http://www.pi-news.net/2019/01/nuernberg-tuerke-und-grieche-stossen-drei-16-jaehrige-auf-gleis-zwei-tot/

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