Les couineurs de Libération lamentent la perte de l’Aquarius, le navire amiral de la flotte des passeurs qui importait en Europe des milliers de pseudo réfugiés.

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On ne doit pas sous-estimer le coup porté par le ministre de l’Intérieur Salvini à la maffia des passeurs de pseudo réfugiés. En bloquant à quai l’Aquarius, Salvini a on seulement rendu un fier service à l’Italie et à l’Europe toute entière, mais il a contribué à sauver la vie d’ingénus qui croient qu’en quittant l’Afrique ils vont atterrir dans un eldorado. Les couinements de Libération sont l’écho des perturbations dans le business modèle des ONG qui prospèrent sur le malheur.

Un extrait des lamentations de Libération avec quelques commentaires :

Torpillé par l’Italie, lâché par l’Europe, le navire qui secourait les migrants en mer a cessé ses activités le 6 décembre, au terme d’une année marquée par le repli populiste.

Ce fut une parenthèse de générosité sur fond de solidarité européenne désenchantée. Entre février 2016 et juin 2018, l’Aquarius, navire de 77 mètres de long affrété par SOS Méditerranée et Médecins sans frontières, a joué les bouées de sauvetage humanitaire en Méditerranée, avant d’être contraint, le 6 décembre, de mettre fin à ses opérations après un lynchage en règle par un pays, l’Italie, et un lâchage tout court de l’Europe.

L’Aquarius a pourtant sauvé de la mort, lors de 177 opérations d’aide et 64 opérations de transbordement, près de 30 000 vies humaines. Quand, en quatre ans, plus de 17 000 hommes, femmes et enfants, selon l’Organisation internationale pour les migrations, ont été avalés par les flots méditerranéens, le plus grand cimetière maritime de la planète. Leur crime : tenter une traversée vers un monde jugé meilleur sur des embarcations d’infortune.

Quelle prétention du journaliste ! Les statistiques gonflées à l’hélium sont totalement bidon. l’Aquarius n’a pas sauvé trente mille personnes. il les a seulement recueillies au large des côtes libyennes (et non pas en pleine mer comme les médias le laissent entendre. Si ce navirte n’avait rien fait, il est probable que ces personnes seraient restée en Libye.

 

«Miradors aux frontières»

Il y a plus de vingt ans, bien avant la plus grande crise migratoire jamais connue en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale, le président de la Banque mondiale évoquait dans Libération le risque de voir apparaître «des miradors aux frontières de l’Europe». Depuis, non seulement l’Europe a renoncé à se donner les moyens de sauver des vies, mais elle a aussi torpillé les tentatives humanitaires citoyennes d’y parvenir. «Un jour sombre», résume MSF. Les historiens du temps et de l’instant que sont les journalistes racontent déjà ce cynisme : moins de 7 % des 512 millions d’Européens sont des «ressortissants étrangers». Bruxelles a bien fixé comme objectif d’accueillir 160 000 migrants : moins du tiers ont été acceptés par les Etats membres…

Toujours les mêmes statistiques bidon. il suffit d’une goute de vinaigre pour faire cailler une tonne de lait ! Les 7% sont les résidents en Europe qui sont étrangers mais ce chiffre n’inclut pas les résidents d’origine étrangère qui ont acquis une des citoyennetés des pays de l’Union.

 La double démission européenne s’est faite en deux temps. Les chancelleries ont d’abord laissé Rome, sous la houlette d’Enrico Letta, lancer l’opération «Mare Nostrum» dans la foulée du drame de Lampedusa (366 morts en octobre 2013). Des moyens majeurs, 9 millions d’euros par mois, sont alors déployés et permettent de sauver en moins d’un an plus de 100 000 réfugiés africains. Appel d’air, dénoncent alors des voix souverainistes, populistes et égoïstes, avec mention spéciale aux droites françaises, tout en surenchère alarmiste. Pendant ce temps, l’Italie porte seule la charge de sa générosité.(…)

Travail de sape

Mais l’UE, plutôt que de se concentrer sur le trafic humain sur le sol libyen, un temps dénoncé par Emmanuel Macron, a laissé prospérer le travail de sape contre les ONG. Celles-ci ont été accusées tour à tour de complicité avec les passeurs ou de pollution. Pire : plutôt que de mettre en branle le plan d’accueil concocté par la Commission, les Etats, dans leur hypocrite frilosité doublée de cynisme, se sont mis au diapason du sentiment anti-migrants attisé par des angoisses xénophobes. On est passé de simples pinailleries bureaucratiques à des ouvertures d’enquêtes judiciaires sur fond d’accusations de crime organisé, puis à l’immoblisation des navires, à la fermeture des ports et au retrait de pavillon. «C’est la victoire du populisme contre des citoyens convaincus que les frontières ne suffisent pas à hiérarchiser les humains entre eux», a dénoncé dans nos colonnes Jean-François Dubost, d’Amnesty International. Ce n’est pas l’histoire d’un sabotage en bande organisée, mais d’un sabotage en débandade désorganisée.

(…)

Pour y croire encore, il reste une poignée d’organisations issues de la société civile qui tentent de sauver l’honneur de l’Europe et, surtout, des vies humaines : Sea Watch, Mare Jonio, Proactiva Open Arms ou les survols de Moonbird ou de Colibri. Contre vents et marées.

Retrouvez l’article de Libération  dans son intégralité en cliquant ici.

Le récit larmoyant de Libération est typique des opérations d’enfumage de la gauche moralisatrice et bien pensante. La réalité est bien différente.

Parangon de la vertu humanitariste, les bobos de Médecins sans frontières ont affrété un navire qu’ils ont transformé en arche de Noé de l’immigration illégale travestie en crise migratoire.

Première victime de ces apprentis sorciers du Grand Remplacement, L’Italie où ils allaient vider leur cargaison au lieu de la ramener au port le plus proche, soit en Libye soit en Tunisie.

Matteo Salvini, le ministre Italien de l’Intérieur ne l’entendait pas de cette oreille. Après beaucoup de guérilla juridique, il a fini par trouver le point faible dans la cuirasse de protection des bien-pensants déguisés en marins en goguette.

L’extrême-gauche a pris fait en cause en faveur de l’Aquarius, démontrant ainsi que ce navire n’est qu’un moyen de déstabiliser notre continent.

L’Aquarius est mouillé dans le port de Marseille depuis plus de deux mois suite à ce que l’association dénonce comme des « campagnes de diffamation » conduites par le gouvernement italien.

Le mois dernier, des procureurs italiens ont dénoncé sans rire que l’Aquarius pouvait être le vecteur de maladies infectieuses comme le sida, la méningite et la tuberculose. C’est de bonne guerre.

 

Rivalisant en imagination, les robins italiens ont eu l’idée de mettre en examen  vingt-quatre personnes associées avec les opérations de l’Aquarius, dont le commandant, pour avoir occulté des déchets dangereux sous de fausses appellations.

En fait, l’équipage change les vêtements des pseudo réfugiés et leur en donne d’autres. Les hardes récupérées sont contaminées avec toutes sortes de vecteurs de maladies, germes, virus ou même des poux. En les qualifiant de déchets « spéciaux » au lieu de « déchets toxiques » l’équipage a commis une faute administrative dont les procureurs italiens se sont emparés avec brio.

 

L’erreur de classement des hardes laissées à bord de l’Aquarius par les pseudo-réfugiés fut une erreur fatale des organisateurs des expéditions de pêche au migrant.

Les larmes de crocodile des bobos en blouse blanche sont abondantes et pour peu on risque de se noyer dedans. Voici ce que dit un Vickie Hawkins, une des responsables de MSF :

C’est un jour noir. Non seulement l’Europe a failli dans son devoir de fournir des moyens de recherche et de sauvetage, mais elle a activement contribué à saboter les efforts des autres pour sauver des vies.

La fin de l’Aquarius a un résultat immédiat : davantage de vies seront perdues en mer. Des morts que l’on aurait pu éviter seront ignorées et pas prises en compte. On se trouve devant un cas exemplaire du « loin des yeux, loin du coeur ». pour les responsables européens alors que des hommes, des femmes et des enfants vont mourir.

Un peu d’hyperventilation de la part de MSF ce qui leur va bien pour leurs relations publiques et leurs levages de fonds.

Les couinards de MSF accusent les autorités européennes d’aggraver  les souffrances de milliers de personnes (il font référence aux pseudo-réfugiés) en permettant aux garde-côtés libyens de faire leur travail en recueillant les migrants en mer pour les « forcer » à retourner en Afrique du Nord, ce qui à leur yeux constitue une « claire violation des lois internationales ».

La mobilisation de l’extrême-gauche italienne n’a pas fait vaciller le ministre de l’Intérieur italien, bien au contraire.

Dans les colonnes de Libération, les responsables de MSF ont cherché à toucher la corde sensible de leur public.

«Renoncer à l’Aquarius a été une décision extrêmement difficile à prendre», déclare dans un communiqué Frédéric Penard, directeur des opérations de SOS Méditerranée, en déplorant «les attaques incessantes dont le navire et ses équipes ont fait l’objet».

Mais l’ONG basée à Marseille «explore déjà activement les options pour un nouveau navire et un nouveau pavillon», et «étudie sérieusement toutes les propositions d’armateurs qui lui permettraient de poursuivre sa mission de sauvetage». «Nous refusons de rester les bras croisés sur le rivage alors que des gens continuent de mourir en mer», assure Frédéric Penard. «C’est un jour sombre», a pour sa part déploré dans un communiqué distinct Nelke Mander, directrice générale de MSF, pour qui «la fin de nos opérations à bord de l’Aquarius signifie davantage de morts en mer».

Grâce à l’imagination débordante des procureurs italiens encouragés à protéger leur peuple par le ministre de l’Intérieur Salvini, l’Europe est protégée des méfaits de l’Aquarius. Mais cette bataille gagnée n’est pas la fin de la guerre. L’extrême gauche en blouse blanche nous réserve d’autres surprises. Un nouveau bateau, sous un nouveau pavillon, tout est envisageable. La véritable bataille à gagner est celle de l’opinion. Elle est loin d’être gagnée tant le terrain est miné par des médias de masse ouvertement favorables au Grand Remplacement. C’est pour cela qu’il est vital de soutenir les médias alternatifs comme TV Libertés, Breizh Infos ou le Boulevard Voltaire.

Photos CC via Flickr de David Holmes, Jacques Billaudel, Jeanne Menjoulet. Retrouvez l’article de Libération en cliquant ici.