Le lobby immigrationniste, celui qui veut ouvrir en grand les portes de la France à « toute la misère du Monde » et répartir les pseudo réfugiés dans les plus petits villages de notre pays, a du plomb dans l’aile. Pour tenter de faire revivre cette idéologie mortifère, la gauche en est réduite à ressortir du placard deux morts vivants de la sociologie.

You are currently viewing Le lobby immigrationniste, celui qui veut ouvrir en grand les portes de la France à « toute la misère du Monde » et répartir les pseudo réfugiés dans les plus petits villages de notre pays, a du plomb dans l’aile. Pour tenter de faire revivre cette idéologie mortifère, la gauche en est réduite à ressortir du placard deux morts vivants de la sociologie.

Le quotidien Libération est le journal officiel de l’idéologie dominante. Possédé par le grand capital, dirigé par la boboïtude dans sa version la plus chimiquement pure, Libération est le poisson pilote de l »idéologie libérale et mondialiste qui cherche à détruire notre pays pour en faire une vaste zone commerciale peuplée de consommateurs dont peu importe l’identité.

Avec ce gros article, le quotidien donne la parole à deux des grandes figures de la gauche intellectuelle,  Edgar Morin et Alain Touraine.

Nous vous présentons quelques extraits d’un entretien à retrouver en entier dans les colonnes de Libération.

Ce sont des intellectuels comme les zombies choisis par Libération qui jouent un rôle clef dans la justification intellectuelle de la mobilisation de certains étudiants en faveur des pseudo-réfugiés.

e

E.M. : En Europe, en tout cas, on peut penser qu’il y a encore des espaces inoccupés dans les campagnes, et qu’il n’y a donc aucun problème d’ordre physique ou biologique qui limiterait l’arrivée des migrants. Donc on arrive à cette idée que le seuil est psychologique. A un moment, «on» se sent menacé, saturé, et cela aussi bien par les étrangers qui restent que par ceux qui ne sont que de passage. La question centrale est celle de cette peur de l’arrivée des étrangers. D’autant que, lorsqu’il y a des crises économiques ou de civilisation, les angoisses se cristallisent sur des boucs émissaires devenus responsables de tous les maux, que ce soient les Juifs, les Arabes, les migrants. La question fondamentale devient alors : comment lutter contre cette dérive psychologique ?

Les Gilets jaunes sont une libération du peuple français de l’emprise des élites et des médias conformistes comme Libération.

A.T. : Le thème des migrants, pour moi, est le thème test. Si vous lâchez sur les migrants, vous lâchez sur tout. En particulier sur l’Europe. En tant que Français, je voudrais obliger le gouvernement à s’engager. Il faut des accords, que cela soit ouvert, dire aussi que nous y avons nos intérêts. Nombre de nos régions ont besoin d’être reindustrialisées, d’autres doivent faire face à une réelle désertification, d’autres encore souffrent d’un manque de services publics. Il ne faut pas oublier que la population française est très peu mondialisée. Nous avons seulement deux villes mondiales en France : Lyon et Paris.

L’arme principale des immigrationnistes est celle des bons sentiments. L’utilisation à outrance de destins individuels permet de ne pas aborder la question des conséquences à long terme pour la France. Un petit enfant avec sa mère est toujours mignon. Que va-t-il devenir quand il aura 18 ans ?

Face à ce vaste programme, pourquoi la question des migrants constitue-t-elle un test ?

E.M. : Il y a toujours eu deux France dans la France. L’une, démocratique et républicaine, a longtemps dominé l’autre, réactionnaire. Il y a des époques où c’est l’inverse. Certes, il n’y a ni Vichy ni Occupation, mais on voit réapparaître cette tendance à la fermeture et à l’hostilité, avec un dépérissement de la culture démocratique, de gauche. Les grandes idées universalistes étaient enseignées par les instituteurs de campagne, les enseignants du secondaire, les écoles du PC qui, en dépit de son stalinisme, apportait une idéologie universaliste. Les socialistes étaient aussi porteurs de ces idées-là. Or, aujourd’hui, il n’y a plus de PC, plus de PS, moins d’instituteurs de campagne. Il faut repartir à zéro.

A.T. : Absolument. Il y a une chose qui est un enjeu important : il y a ou il n’y a pas d’Europe. Et aujourd’hui, il n’y a qu’un homme politique en faveur de l’Europe : Emmanuel Macron.

Retrouvez l’intégralité de l’entretien dans les colonnes de Libération en cliquant ici.
Photos CC de Patrice Catalayu via Flickr. Certaines photos déjà identifiées dans d’autres posts.