La gauche et les médias s’échinent à nous démontrer que le Grand Remplacement est un mythe. Même s’il suffit de se promener à Paris pour vérifier dans les faits cette invasion migratoire, l’absence de statistiques facilite la tâche des négationnistes. En revanche, aux Etats-Unis, pas de pudeurs statistiques, on appelle un chat un chat et les chiffres des dernières études ne laissent pas de place au doute.

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Le Public Religion Research Institute, un organime de recherches à la fois réputé et de gauche vient de publier sous la forme d’un livre une intéressante étude qui conclut à la fin prochaine de l’Amérique européenne et chrétienne. Les chiffres sont sans appel, ils confirment que le Grand Remplacement est imminent: en 1976, les États-Unis comptaient 81% de chrétiens blancs; en 2016, les USA sont 43% de chrétiens blancs.

Chronique d’une mort annoncée.

Le paysage religieux américain est en pleine mutation. Les chrétiens européens, qui constituaient jadis le groupe religieux dominant aux États-Unis, représentent désormais moins de la moitié des adultes du pays. Aujourd’hui, moins de la moitié des États sont à majorité chrétienne européenne. En 2007 encore, trente-neuf États comptaient une majorité d’euro-chrétiens.

Ce sont deux des principales conclusions de ce rapport, qui est basé sur les conclusions du 2016 American Values Atlas réalisé par le PRRI, la plus grande enquête jamais effectuée sur l’identité religieuse et confessionnelle américaine.

Ce rapport historique est basé sur un échantillon de plus de 101 000 Américains répartis sur l’ensemble du pays comprend des informations détaillées sur leur affiliation religieuse, leurs liens confessionnels, leur affiliation politique et d’autres caractéristiques démographiques importantes.

Le Grand Remplacement se remarque moins dans les zones conservatrices et rurales du pays.

Parmi les principales conclusions de cette étude :

Les Euro-Américains chrétiens représentent maintenant moins de la moitié de la population. Aujourd’hui, seuls 43% des Américains s’identifient comme Européens et chrétiens et 30% seulement comme Européens et protestants.

En 1976, environ huit Américains sur dix (81%) s’identifiaient comme Européens appartenant à une dénomination chrétienne et une majorité (55%) étaient des protestants européens.               

La gauche américaine où dominent les Euro-Américains s’est radicalisée depuis une dizaine d’années et se mobilise en faveur des droits des autres groupes au détriment du sien.

Les protestants évangéliques européens sont en déclin, de même que les principaux protestants et les catholiques. On pensait autrefois que les protestants européens évangéliques étaient sur une tendance plus longue, mais au cours de la dernière décennie, leur nombre a considérablement diminué.

Moins d’un Américain sur cinq (17%) est protestant évangélique européen, alors qu’il représentait près du quart (23%) en 2006.

Au cours de la même période, les catholiques européens ont perdu cinq points de pourcentage, passant de 16% à 11% tout comme les protestants qui sont passés de 18% à 13%.

Les Afro-Américains risquent d’être le grands perdants de ce Grand Remplacement car les nouveaux arrivants seront moins sensibles aux arguments victimistes des organisations afro-américaines.

Les groupes religieux non-chrétiens sont de plus en plus nombreux, mais ils représentent encore moins d’un Américain sur dix. Les Américains juifs constituent 2% de la population, alors que les musulmans, les bouddhistes et les hindous ne représentent chacun que 1%. Toutes les autres religions non chrétiennes constituent un 1% supplémentaire.             
 

Les groupes religieux américains les plus récents sont non-chrétiens. Les musulmans, les hindous et les bouddhistes sont tous beaucoup plus récents que les groupes chrétiens européens. Au moins un tiers des musulmans (42%), des hindous (36%) et des bouddhistes (35%) ont moins de trente ans. Environ le tiers (34%) des Américains athées ont également moins de trente ans.

A l’inverse, les groupes chrétiens européens vieillissent. Un peu plus d’un catholique européen sur dix (11%), de protestants européens évangéliques (11%) et de protestants européens (14%) ont moins de trente ans. Environ six protestants européens évangéliques sur dix (62%), de catholiques européens (62%) ), et les protestants européens (59%) ont au moins cinquante ans.             

Les Euro-Américains, notamment la jeunesse universitaire, sont les principaux acteurs de leur propre marginalisation. Ici, une jeune femme est arrêtée lors de manifestations en faveur des Noirs « discriminés »  par la police.

L’Église catholique connaît une transformation ethnique. Voici vingt-cinq ans, près de neuf catholiques sur dix (87%) étaient européens et non hispaniques, contre 55% aujourd’hui.

Moins de quatre catholiques sur dix (36%) âgés de moins de trente ans sont européens, non hispaniques; 52% sont hispaniques.             
 

 

Le bourrage de crâne médiatique conduit une proportion non négligeable des Euro-Américains à la haine de soi et à la xénophilie.

S’il ne faut conserver qu’une seule des conclusions de l’étude, celle-ci est très frappante :

1976 : 81 % de la population était Euro-Américaine de confession chrétienne.

2016 : 43 % de la population était Euro-Américaine de confession chrétienne.

La poursuite des courbes donne le vertige.

Le président Trump n’est pas totalement impuissant. Son principal succès a été de donner la voix au peuple et mettre en lumière les méfaits des médias, totalement prisonniers de la doxa de gauche et d’extrême-gauche en ce qui se réfère aux questions démographiques et l’immigration.

Enfin, outre la construction d’un mur de protection sur la frontière sud du pays, il cherche également à mettre fin au droit du sol.

Espérons qu’il puisse nous ouvrir le chemin.

https://youtu.be/5w5p_MdzT3U

Découvrez une présentation de l’étude sur le site du PRRI en cliquant ici.
Photos DR et CC via Flickr d’Andres Komodros, Blink O’Fanaye, Erik Drost, Johnny Silvercloud, Justin Norman, Roman Boed et USAG Humphreys.