Jack Merritt a été tué par un terroriste islamiste dans le dernier en date des attentats au couteau perpétrés à Londres. La triste ironie de cette mort est que ce jeune Anglais était un progressiste qui ne croyait pas aux vertus de la prison pour protéger la société des monstres jihadistes. Jack Merritt croyait dans les vertus de l’antiracisme, des sociétés multiculturelles, se réjouissait que l’Angleterre perde progressivement son identité et se félicitait de la libération du musulman radicalisé qui allait le tuer.

La haine de soi est une des caractéristiques de la gauche. Jack Merritt  en était la plus parfaite illustration. Il avait fait un de ses travaux de recherche sur la « surreprésentation » des Noirs et des Musulmans entre les âges de 18 et 21 ans dans les prisons britanniques, expliquant cette « anomalie » statistique par le racisme de la société insulaire.

Plus tard, il a activement travaillé à un programme de réhabilitation des terroristes et c’est à l’occasion d’une conférence à ce sujet qu’il a été tué au couteau par un musulman radicalisé considéré comme une réhabilitation exemplaire.

Dans une lettre publiée par le Guardian, le père de Jack Merritt persiste et signe dans l’aveuglement de son fils.

A titre d’exemple, il appelle l’attaque terroriste « un tragique incident », une manière ahurissant de nier la réalité.

Cet homme, qui porte sans doute une grande responsabilité dans la vue du monde défendue par son fils, est incapable d’admettre qui est des guerres où le bien s’affronte au mal.

Voici quelques extraits d’une lettre de son père qui illustre bien la naïveté suicidaire de la gauche.

Jack était fier. Jack était d’une intelligence brillante. Jack était farouchement fidèle. Jack aimait la musique, l’art, faire bonne chère avec sa famille et boire plus d’une pinte avec ses amis. Oh, et au cas où tu ne l’aurais pas compris maintenant… Il était aussi diaboliquement beau garçon.

Mais Jack était aussi en colère, frustré, têtu. Il était en colère parce qu’il voyait notre société laisser tomber ceux qui en avaient le plus besoin. Il était frustré parce que l’élite politique avait oublié pourquoi il était important d’être juste. Il était altruiste dans son dévouement à arranger les choses chaque seconde de sa vie. Jack a consacré toute son énergie à Learning Together : un programme pionnier visant à rassembler des étudiants d’universités et de détenus pour qu’ils échangent leurs points de vue sur la justice. Contrairement à beaucoup d’entre nous, Jack ne s’est pas contenté d’aller au travail. Il a vécu passionnément sa quête d’un monde meilleur pour l’humanité, en particulier pour les plus démunis.

Si Jack pouvait commenter sa mort — et l’incident tragique du vendredi 29 novembre — il serait consterné. (…)

Il serait bouleversé de voir sa mort et sa vie, mises au service d’une politique de haine contre laquelle il s’est tant battu.  Il s’est mis en quatre pour ouvrir un monde où l’on ne prononce pas de condamnation à durée indéterminée ou pour appartenance à un groupe criminel. Il s’est battu pour que l’on ne réduise pas le budget des prisons, que l’on se concentre sur la réhabilitation et non sur la vengeance. (…) Jack croyait en la bonté inhérente à l’humanité et croyait qu’il avait le devoir moral de défendre cette idée. (…)

Partagez son intelligence, sa motivation, sa passion, sa colère et luttez contre la haine avec sa gentillesse. N’abandonnez jamais son combat.

(…)

retrouvez le texte de la lettre du père de Jack Merritt en cliquant ici.
Photo DR FaceBook.

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