Six mois de prison avec sursis et toujours suspendue de son travail !

Vous rappelez-vous Cassandre, cette jeune enseignante de Moselle ? Pour avoir brandi une pancarte lors d’une manifestation contre le passe sanitaire au mois d’août, elle a été trainée sur la place publique et clouée au pilori médiatique. Vous avez été nombreux à la soutenir sur les réseaux sociaux et à nous aider à la défendre. Depuis, le verdict est tombé !

Le procureur avait requis 3 mois de prison avec sursis, elle en a écopé de 6 ! Elle est par ailleurs toujours suspendue de ses fonctions et donc dans l’incapacité de gagner sa vie.

 

Condamnée à six mois avec sursis, c’est la même peine encourue par un homme qui cultivait du cannabis à Camiers. La même peine que pour les hommes qui ont harcelé et menacé sur internet la jeune Mila.

C’est encore la même peine que celle de quatorze hommes jugés pour « participation à un groupement formé en vue de commettre des violences et des dégradations ». La différence entre Cassandre et eux, c’est qu’elle a brandi une pancarte lors d’une marche pacifique. Le cas de notre compatriote a servi d’exutoire à une gauche moribonde en quête de justice mal placée. Nous sommes toujours dans l’attente de la condamnation de Nick Conrad pour avoir incité à pendre des blancs !

Treize parties civiles s’étaient liguées contre l’enseignante voyant dans l’affaire une opportunité en or de renflouer leurs caisses, parmi eux il y avait bien évidemment la LICRA, SOS racisme, le Conseil national de l’Ordre des médecins, l’Organisation juive européenne et la Ligue des Droits de l’Homme ou encore le Crif. Nous cherchons encore la raison pour laquelle l’Ordre des médecins s’est porté partie civile dans cette affaire… Alors qu’elle ne peut travailler, Cassandre a été condamnée – en plus des six mois de prison avec sursis – à verser des sommes allant jusqu’à 300 euros à huit des associations qui se sont constituées parties civiles !

 

Victime d’un procès expéditif 

Notre amie a été jugée en trois mois, un record pour la justice française ! Tandis que des délinquants récidivistes restent des mois voire des années en libertés avant d’être jugés, on ne peut s’empêcher de constater qu’il y a un détestable deux poids deux mesures, et jamais au profit des patriotes !

Cassandre a engagé des frais importants pour déposer un recours auprès du Conseil d’État contre sa suspension de l’Éducation nationale. La procédure est longue et coûteuse et s’ajoute aux frais d’avocat pour le jugement du 20 octobre dernier.

Aidez notre amie à sortir du marasme économique où elle est embourbée. Elle a besoin de tout le soutien que nous pouvons lui apporter pour se tirer d’affaire.

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