Le gauchisme est une bête immonde qui renaît constamment de ses cendres. Sa variante féministe est sans doute une des plus toxiques de toutes car, non seulement elle veut détruire notre société, mais elle s’attaque à sa cellule de la base la famille.

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Pour ces bêtes enragées de la provocation et de l’agression, tout est bon pour chercher à détruire nos valeurs, notre coexistence entre hommes et femmes dans le but de perpétuer la vie. Le débat entre Ludivine de la Rochère, présidente de la Manif pour tous et Alyssa Ahrabare, porte-parole d’Osez le féminisme illustre la gravité de la situation.

Dans une tribune, Breizh infos a présenté en termes vifs la réalité de la menace.

https://youtu.be/SOdMNGZQw7U

Le féminisme gauchiste, ce cancer qui nous empêche de bien vivre ensemble

Je viens d’écouter le débat qui opposait Ludovine de La Rochère, présidente de La Manif pour tous, à Alyssa Ahrabare, porte-parole d’Osez le féminisme, à propos de la PMA sans père.

Avant d’écrire ces lignes, j’ai salement frappé sur mon sac de frappe à grands coups de pieds et de poings, histoire de décharger un peu toute la colère que peuvent provoquer chez des hommes normalement constitués les féministes gauchistes comme Mme Ahrabare.

Le féminisme est devenu une arme de l’extrême-gauche pour combattre nos valeurs. C’est ainsi qu’il est devenu toxique.

Mais écoutez donc, sa façon de parler, « cet air supérieur, cette façon de dire oui heu… laissez les féministes faire leur travail » ! « Mais calmez-vous Dir ! » « Mais je suis très calme ! » (Comprenne qui pourra). Cette jeune femme incarne parfaitement le féminisme à l’heure actuelle. Quand on l’écoute, on s’asphyxie, on a la nausée, ça suinte la haine. La haine du mâle blanc, la haine de la « société patriarcale » (qu’elle aille voir en Arabie saoudite, en Chine ou au Chili, on en reparlera), cette haine de tout ce qui a forgé notre civilisation.

Ne vous avisez pas de lui donner un uniforme et un flingue, à Mademoiselle Ahrabare (je t’appelle Mademoiselle si je veux !). Elle pourrait faire peur y compris aux pires des vétérans des Khmers rouges de Pol Pot. Une dangerosité extrême derrière un sourire de façade. Alyssa Ahrabare, c’est un peu comme Marlène Schiappa, ça pue les camps de rééducation.

Le féminisme toxique est devenu une idéologie mortifère qui déconsidère la vie et qui un jour encouragera les pires déviances.

On les imagine volontiers sillonner le pays, les campagnes, avec toute une horde haineuse de soldats chargés de communication femmes ou hommes efféminés, pour voir si les dernières consignes sur l’égalité sont bien appliquées, à l’école de nos gamins, dans la rue, et même à la maison. « Camarade Dir, est-ce que votre femme a signé le papier de consentement à votre relation sexuelle de ce soir ? » demandera la commissaire du peuple Ahrabare, menaçant votre auteur préféré d’un internement d’un mois dans un « Institut de développement de l’égalité », promotion Najat.

« Alors comme ça, votre fille a déclaré qu’elle préférait jouer à l’élastique à la récréation plutôt qu’au football ? Je vous colle là aussi un rapport avant possible procès en mauvaise éducation. D’autant plus que vous avez osé lui faire lire la collection Martine tandis que vous achetiez Olive et Tom à votre fiston. Vous risquez gros Monsieur Dir, peut-être même la révocation de votre autorité parentale. Votre fille pourra alors rejoindre les Internats républicains de la Libération et du bien vivre ensemble en toute égalité. Elle y grandira et y sera éduquée dans les valeurs de la République, pour une société inclusive, essentialiste, respectueuse des droits des femmes, des mulets, des chapons, de toutes les minorités mais un peu moins des hommes au nom de la compensation historique dite Bertrand Cantat. »

Mon corps, mon choix ? A condition que ce ne soit pas un « migrant » qui ose porter la main sur ce corps, car alors les féministes toxiques préfèrent se taire.

Terrifiant n’est-ce pas ? En tout cas, même si ça peut prêter à sourire, repensez seulement à ce que vous pouviez dire publiquement il y a dix ans, vingt ans, et ce que vous ne pouvez plus dire aujourd’hui sous peine d’être jeté en pâture, traqué, terrorisé sur les réseaux sociaux et sous les arsenaux juridiques et médiatiques d’ayatollahs du féminisme.

Le féminisme toxique veut une société où les hommes et les femmes perdent leurs caractéristiques propres pour devenir des numéros interchangeables. Le rêve du capitalisme mondialisé et déjanté. 

L’aboutissement de tout cela ? La haine, rien que la haine

Beaucoup de jeunes filles tombent dans le piège de la réthorique féministe toxique. Le temps qu’elles s’en rendent compte, elles auront perdu les meilleures années de leur vie et vieilliront sans mari, sans enfants et sans êtres chers autour d’elles.

Car entre les membres d’innombrables civilisations que nous invitons quotidiennement sur notre territoire pour y rester (et même pour y devenir nos « semblables » via la carte d’identité en commun) et qui n’intégrerons sans doute jamais le poison féministe (et on les comprend) et les mâles blancs qui vont un jour ou l’autre finir par se révolter face à l’hystérie généralisée et castratrice imposée par une minorité agissante de femmes, tout porte à croire que nous allons droit dans le mur. Jamais, sauf à renier ce que nous portons au plus profond de nous, dans nos tripes, dans nos têtes et dans nos c….., nous ne pourrons plier face à ces hyènes dangereuses et haineuses (encore une fois, les haineuses, les rageuses, les revanchardes, ce sont elles, pas nous).

Le féminisme gauchiste, tout comme l’immigration d’ailleurs, sont des cancers qui nous empêchent de bien vivre ensemble dans une société saine.

Pour y remédier, « écrivez à l’ARC, envoyez nous des Sioux ». Parce qu’en plus de ne pas pouvoir nous castrer, elle ne nous enlèveront ni notre humour, ni notre détermination !

Julien Dir

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Photos DR RMC, et CC via Flickr d’Alternative libertaire; Dimitri Djouce, Jeanne Menjoulet et Peter.