La guerre s’intensifie entre les transsexuels et les lesbiennes. Les premiers insistent pour être reconnus comme des femmes même sans être opérés et les secondes répondent en affirmant qu’une « femme n’a pas de pénis ». Poussé par une logique tyrannique, le mouvement gay, où dominent les homosexuels mâles, veut forcer les lesbiennes a mettre la biologie et le bon sens cul par dessus tête.

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Un groupe de femmes portant des teeshirts avec l’inscription « Les lesbiennes sont des femmes » a été expulsé du café du National Theatre de Londres par la police. Quel avait été leur crime contre la pensée ?

Le slogan qu’elles portaient sur leur poitrine avait « offensé » un transsexuel travaillant dans le café !

La presse de gauche a pris fait et cause en faveur des trans et a justifié l’expulsion des lesbiennes du National Theatre.

Cette nouvelle péripétie de la guerre entre transexuels et lesbiennes s’est déroulé dans le très chic Green Room Bar du National Theatre le vendredi 5 juillet. Ces femmes sont très remontées contre la prétention des transexuels d’être considérées comme des femmes à part entière alors que pour la plupart restent biologiquement des hommes.

Terrorisée à l’idée d’être dénoncée comme « transphobe », la direction du théâtre a préféré expulser ces femmes qui pourtant ne faisaient qu’énoncer une évidence : les lesbiennes sont des femmes qui aiment les femmes. Le Daily Mail a raconté cette affaire en détail.

Le Théâtre national s’est engagé dans une guerre verbale acerbe avec un groupe de lesbiennes après avoir  refusé de leur servir des boissons parce qu’un membre du personnel transsexuel avait été offensé par leurs opinions.

L’épisode a eu lieu dans le bar Green Room du National Theatre après la marché des fiertés homosexuelles londonienne, la London Pride, et la police a été appelée en renfort pour demander aux quinze femmes de quitter les lieux.

Une des participantes, Natasha Read, a manifesté son mécontentement sur sa page Facebook :

«Cette expulsion manu militari faisait suite à une conversation entre le serveur transsexuel du bar et certaines des lesbiennes du groupe qui portaient des t-shirts reprenant la définition du mot lesbienne du dictionnaire.

Natasha Read est une lesbienne qui voit dans la tyrannie des trans une autre forme de domination masculine.

Le résultat est que la police a été appelée par la direction du théâtre pour expulser un groupe de femmes sobres et tranquilles, principalement des lesbiennes, parce qu’elles ont répondu à une question d’un membre du personnel par une réponse qui ne correspondait pas à ses convictions politiques, ni même à la réalité biologique, comme par exemple que les femmes n’ont pas de pénis.

Les trans ont réussi à imposer à la communauté homosexuelle que la biologie est secondaire par rapport à la psychologie. Un homme biologique peut être une femme s’il se ressent ainsi et, s’il se définit comme « lesbienne », il a le droit d’entretenir des relations sexuelles avec des lesbiennes biologiquement femmes, ce qui revient tout bêtement à avoir des relations hétérosexuelles dont ces mêmes lesbiennes biologiques ne veulent pas.

Les t-shirts arborés par ces femmes semblent être une tentative de distinction entre les femmes trans et les lesbiennes et sont un argument qui divise la communauté LGBT.  

Les t-shirts controversés se lisent comme suit: «Lesbienne: une femme qui aime d’autres femmes».

Natasha a également expliqué que le membre du personnel trans avait initié la conversation et demandé si l’une des femmes avait participé à l’action «sortez le L» à la London Pride l’année précédente.

Avant de vouloir prendre un verre au National Theatre, ce groupe de militantes lesbiennes avait protesté contre l’idéologie trans qui veut que des enfants prépubères soient « transitionnés ». Comment ne pas les rejoindre dans ce combat ?

Les militantes lesbiennes et féministes s’opposent à ce qu’elles décrivent comme «un mouvement LGBT de plus en plus anti-lesbien et misogyne et contre l’effacement des lesbiennes dans le mouvement gay» sont accusées de transphobie.  

Les transsexuels qui se prétendent des femmes sans pour autant avoir été castrés trouvent des adversaires déterminés dans des groupes lesbiens qui refusent leur présence dans les toilettes publiques réservées aux femmes.

Natasha poursuit: «Quand le serveur trans a reçu une réponse positive, il est parti en disant qu’il ne voulait rien avoir à faire avec nous.

« C’est après cela que la décision de la direction du bar du théâtre fut prise de ne servir quiconque faisant partie du groupe de militantes.  

L’idéologie d’extrême-gauche qui domine dans les groupes gays les conduit à accepter les outrances des trans dans leur obsession de lutter contre les fondements de notre société.

Le groupe Get The L Out   déclare sur son site internet que la nouvelle politique des groupes LGBT dominés par des homosexuels mâles est de contraindre les lesbiennes à accepter le pénis en tant qu’organe féminin et à promouvoir les relations hétérosexuelles entre hommes et femmes en tant que forme de sexualité lesbienne.

Lorsque les femmes ont refusé de partir, la police a été appelée au National Theatre.

Une vidéo prise par l’un des membres du groupe montre deux policiers qui s’affrontent avec environ une douzaine de femmes qui refusent poliment de quitter les lieux.

Le National Theatre a réagi aux affirmations du groupe, en déclarant qu’il n’avait pas été averti à l’avance que ses membres porterait des slogans féministes et qu’il ne tolérerait pas un «comportement perturbateur» de la part de ces lesbiennes qui se reconnaissent dans la définition biologique de la femme.  

Vendredi soir, le théâtre a déclaré sur Twitter qu’il «respecte et valorise son personnel trans et le public.

La direction joute que si des clients mettent en péril le sentiment de sécurité de leur personnel trans, elle serait amenée à agir.

Lisa Burger, directrice générale adjointe du National Theatre, a déclaré que les femmes avaient provoqué « une série de troubles » qui « ont abouti à un comportement abusif envers notre personnel ».

La définition d’une lesbienne comme une femme qui aime d’autres femmes est insupportable aux trans.

La directrice a affirmé que des témoins ont corroboré cette version des faits.   Il est allégué que les militantes ont refusé d’occulter des pancartes affichant des slogans comme:   «Visibilité lesbienne», «Les enfants ont besoin d’une thérapie, pas d’un traitement hormonal bloquant la puberté» et «Transitionner des enfants, c’est un abus sexuel».  

Les lesbiennes ne sont pas tendres à l’heure de caricaturer les trans.

Lisa Burger a ajouté: ‘

Les vêtements, le sexe ou la sexualité du groupe n’étaient pas un facteur dans la décision, qui a été prise à contrecœur mais seulement sur la base du comportement et des propos du groupe de militantes.

Le Théâtre national doit être un lieu ouvert à tous, ce qui implique de demander aux visiteurs de se comporter de manière à respecter ce principe.

Les lesbiennes dénoncent la pression sociale au sein de la communauté homosexuelle qui veut les contraindre à accepter des relations sexuelles avec des « femmes » trans ce qui revient à entretenir des relations hétérosexuelles.

Natasha Read a déclaré que son groupe n’était pas perturbateur et que le bar servait même un homme qui l’accompagnait, mais qu’il refusait de faire de même avec les femmes, sans doute parce qu’il ne portait pas, et pour cause, le t-shirt «lesbienne».  

Natasha Read a affirmé que des mesures avaient été prises simplement parce que le membre trans du personnel en question n’était pas d’accord avec les opinions du groupe.

Elle a déclaré sur Facebook:

Ce refus faisait suite à une conversation avec certaines des lesbiennes du groupe qui portaient des t-shirts avec la définition du dictionnaire de lesbienne. »

La violence des hommes trans « femme » contre les femmes lesbiennes est très grande.

Retrouvez l’article du Daily Mail en cliquant ici.
Retrouvez un blog lesbien Peaktrans décrivant l’incident en cliquant ici.
Illustrations DR, Peaktrans, National Theatre, Twitter, Natasha Read et CC via Flikr de Alan Light