ALLONS-NOUS LAISSER FAIRE CELA?

À la fin du mois d’août 2016, Gérard Boyadjian met en ligne sur le site de partage de vidéos Vimeo son film «Chameau pas d’amalgames». Relayé par les réseaux sociaux, celui-ci est vu par plus d’un demi-million de personnes.

Gérard dresse le portrait d’un français moyen qui exprime son ras-le-bol, en termes crus, face à une communauté qui est hostile à nos valeurs, à notre culture, à nos traditions et veut nous imposer les siennes. Vous l’aurez compris, c’est l’islamisation de la France qu’il vise.

LA JUSTICE VEUT CENSURER UN CINÉASTE PATRIOTE QUI COMBAT L’ISLAMISME

Face au succès de la vidéo, les professionnels de l’indignation entrent en jeu. La LICRA signale le film auprès des autorités judiciaires qui ouvrent une enquête pour incitation à la haine raciale.


ALLONS-NOUS LAISSER FAIRE CELA?


Avec peu de moyens et sans subventions, monsieur Boyadjian a réussi à réaliser une trentaine de films.

Le 8 février 2018, Gérard Boyadjian a été condamné par le tribunal de grande instance de Paris à 4 000 € d’amende. Évidemment, il a fait appel de cette décision inique et injuste.

Nous connaissons tous cette fameuse citation de Voltaire. À chaque débat sur la liberté d’expression, elle revient sur le devant de la scène, tel un totem. Mais vous le savez aussi bien que moi, cette phrase ne s’applique pas à tous. Car certains sont plus libres de faire ce qu’ils veulent que d’autres.
Vous devez le constater comme moi, aujourd’hui la liberté d’expression est réservée à une caste bien précise d’artistes dits «engagés», comprenez de gauche et bien-pensants. Le système accepte d’être « Charlie » uniquement pour ces représentants du camp du Bien.

Vagin de la reine, Piss Christ, Tree, Ballon dog, tant «d’œuvres» contemporaines ayant fait scandale lors de leur exposition.

Le septième art n’est pas épargné par le conformisme bien-pensant. Il n’y a qu’à voir les productions de ces dernières années. Je ne compte plus les films à la gloire des migrants, de la repentance historique ou des déviances de notre société.

Le plus scandaleux dans tout cela réside dans le fait que ces films sont pour la plupart subventionnés par l’État, c’est-à-dire par nos impôts. Et surtout, ils sont approuvés par le Centre national du cinéma chargé de délivrer les autorisations pour les œuvres cinématographiques.

Heureusement, des cinéastes indépendants, tels que Gérard Boyadjian, tentent de rendre au cinéma ses lettres de noblesse. Mais le combat est des plus difficile lorsqu’on a peu de moyens et que la justice s’en mêle.

Descendant d’une famille d’origine arménienne, victime de la Turquie islamiste, initiatrice du premier génocide du XXe siècle. Le grand-père de Gérard est devenu français après avoir combattu dans les rangs de la France durant la Seconde Guerre mondiale et après avoir été prisonnier de guerre. Il a été décoré pour cela. La Licra aurait-elle pensé à cette époque faire un procès contre un défenseur de la France ?

Le cinéma que notre compatriote défend repose sur des valeurs conservatrices telles que la transmission, l’héritage ou le beau. Tant de choses que les progressistes de tout poil vomissent. Mais il ne se démonte pas et continue à dénoncer les travers de notre société.

Gérard Boyadjian dérange car il dit tout haut ce qu’une majorité de compatriotes pense tout bas : l’islam n’est pas cette religion de paix et d’amour que nous vantent les médias.

Vous l’aurez deviné, du fait de ses convictions, les films réalisés par ce véritable patriote ne reçoivent aucun argent public. L’ensemble de sa production est donc autofinancé.

En vrai bourreau de travail, Gérard ne ménage pas ses efforts. Pas une journée ne se passe sans qu’il ait disséqué un film, écrit une scène ou tourné une séquence pour un projet. La décision du tribunal risque de rendre impossibles ses activités cinématographiques.

En obligeant monsieur Boyadjian à payer une amende de 4000 € le système judiciaire veut interdire une voix dissidente. Les juges s’assurent aussi de son silence dans le futur. Comment, me direz-vous ? En faisant planer sur lui la menace d’une peine avec sursis de 3 000 €.

Allons-nous laisser ce courageux défenseur des traditions françaises et de la liberté d’expression seul face à la meute qui aboie ? Je vous le dis tout net, c’est NON !

NCI-La France Rebelle ne se résout pas à la censure. Je sais combien vous êtes attaché à notre pays, la France. C’est pourquoi en cette période des fêtes de fin d’année je vous sollicite, Gérard Boyadjian est en danger et à besoin de vous. Aidons-le à payer ses frais d’avocats. Faisons-lui ce cadeau!

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