Les bonnes âmes se pressent pour accueillir chez elles des « migrants ». Mais leurs intentions sont-elles toujours aussi pures qu’elles le prétendent ?
« Je vais avoir de la compagnie chez moi en permanence ! » m’annonce Luisa(1) au téléphone. « Une association va placer chez moi un jeune demandeur d’asile pakistanais. Il s’occupera de la maison, du jardin. » Je…