La moindre altercation entre un Français et un de ces visiteurs qui enrichissent notre pays est mise en avant par les médias quand notre compatriote peut apparaître comme étant l’agresseur. Quand nous sommes les victimes, les médias détournent le regard. Ce qui vient d’arriver à Jennifer Agostini est exemplaire du « deux poids deux mesures » de la presse.
Heureusement qu'il existe des journaux populaires comme le New York Post qui défient les diktats de la bien-pensance et qui acceptent de rendre compte des faits-divers dont les victimes de…